Faut-il voir le verre à moitié vide ou le coté à moitié plein ? Toujours est-il que quelques indicateurs semblent indiquer un début de reprise (Consommation des ménages en hausse, Embauches..) d’une crise qui pour cette dernière a eu un rôle de purificateur. Soyons lucides : véritable phénomène de boule de neige, cette crise a permis à bon nombre d’entreprises de se séparer d’une partie de ses salariés dans un contexte le permettant aux yeux des actionnaires et avec ce prétexte comme leitmotiv. Comment les ex-salariés de Peugeot à Sochaux prennent la nouvelle que leur ex-entreprise va « mieux » et qu’elle embauche, après les avoir licencié ? Dans votre entourage proche, sauf bien évidement celles et ceux qui malheureusement ont subi le système, constatez vous un changement drastique du mode de vie et de consommation des gens ? Si vous êtes un fidèle de ce blog, en lisant les différents posts, vous savez que nous prônons davantage l’esprit d’entreprendre au détriment de l’assistanat. A force de dire que c’est la crise, et qu’elle est justifiée, les gens se comportent et colportent cet état d’esprit, ce qui arrange certains mais nuit à beaucoup.
Au final, ne le savions-nous pas ? Il y avait une surproduction automobile, une frénésie immobilière, un prix du baril de pétrole outrancier, des investissements hasardeux voir douteux et surtout incontrôlés, des indices et mesures de performances « toujours plus »… Mais force est de constater que l’entreprise – pour beaucoup d’entre elles - n’a pas forcément joué son rôle social. Les ressources humaines, et le terme est tout à fait approprié, ont été considéré comme des ressources au même titre que l’énergie, l’entreprise fermant l’approvisionnement ou renvoyant la marchandise non utilisée.
Est-ce la fin d’un système ? Pas forcément, car le naturel revient toujours au galop. Les grands de ce monde préconisent la refonte de nos modèles économiques, en auront-ils le courage et seront-ils suivi ? Oui, à partir du moment où on ne tarit pas la source du profit ! Ce qui au départ était une crise financière et qui s’est transformée en crise économique laissera nécessairement des séquelles, mais pas forcément pour ceux que l’on croit. Alors, préférons le coté à moitié plein du verre, avec la volonté vive qui anime l’être humain de vouloir remplir la deuxième !
Au final, ne le savions-nous pas ? Il y avait une surproduction automobile, une frénésie immobilière, un prix du baril de pétrole outrancier, des investissements hasardeux voir douteux et surtout incontrôlés, des indices et mesures de performances « toujours plus »… Mais force est de constater que l’entreprise – pour beaucoup d’entre elles - n’a pas forcément joué son rôle social. Les ressources humaines, et le terme est tout à fait approprié, ont été considéré comme des ressources au même titre que l’énergie, l’entreprise fermant l’approvisionnement ou renvoyant la marchandise non utilisée.
Est-ce la fin d’un système ? Pas forcément, car le naturel revient toujours au galop. Les grands de ce monde préconisent la refonte de nos modèles économiques, en auront-ils le courage et seront-ils suivi ? Oui, à partir du moment où on ne tarit pas la source du profit ! Ce qui au départ était une crise financière et qui s’est transformée en crise économique laissera nécessairement des séquelles, mais pas forcément pour ceux que l’on croit. Alors, préférons le coté à moitié plein du verre, avec la volonté vive qui anime l’être humain de vouloir remplir la deuxième !